La neige peut se définir comme un type de précipitation atmosphérique, une forme de pluie cristalline qui se produit lorsque l’on atteint une température négative. À cette température, les gouttes d’eau se transforment en flocons blancs et légers, la neige.
Plusieurs facteurs doivent être réunis afin d’observer ce phénomène météo. Et oui, les températures négatives ne suffisent pas… La formation de la neige nécessite : la présence de vapeur d’eau, des températures basses et des particules. Revenons au départ pour comprendre comment se forme-t-elle :
L’eau des lacs et des océans s’évapore dans un premier temps au contact de la chaleur. Cette vapeur d’eau monte dans l’atmosphère. Plus cette vapeur monte, plus elle est soumise à des températures basses et se condense au contact de nuage afin de former des gouttelettes. Au sein des nuages, les gouttelettes vont s’agglomérer sur les particules présentes dans l’air, étant microscopiques comme la poussière ou encore le sable. Suite à cela, la température joue un rôle important dans la détermination du type de précipitation.
Tout comme les précipitations, la neige peut prendre différentes formes puisque les flocons sont influencés par la température de l’air avant leur chute sur le sol. On peut distinguer :
Nous pouvons distinguer différentes formes de cristaux de neige.
En 1988, Nancy Knight, une chercheuse scientifique du Centre national en recherche atmosphérique du Colorado, a repéré deux flocons qui étaient parfaitement identiques, tous deux provenant d’une tempête dans le Wisconsin.
Le continent américain enregistre 105 tempêtes de neige en moyenne par hiver.
Le plus grand flocon de neige, mesurant 38 cm sur 20 cm de hauteur, a été observé en janvier 1887, à Fort Keogh dans le Montana.
Le record de la quantité de neige tombée dans une journée, revient à l’Italie, plus précisément au village de Capracotta. En effet, 2,5 m de neige en une journée et demie ont été enregistrés en mars 2015, soit une moyenne de 13 cm/h.